Ce blog est sur le contenu de classe. En classe, nous avons entré en contact avec l’école de Francfort, je veux parler de ma compréhension.
Pour l’école de Francfort, j’ai toujours une impression, cela est «critique». Après les deux guerres mondiales, la culture populaire a commencé à se développer. Cela est devenu la cible de la critique de l’école de Francfort. Leur théorie est aussi devenu une arme de la critique culturelle.
À leur avis, la société moderne capitaliste semble contenir une grande parcelle, la culture populaire est devenu un outil de contrôle. En fait, ils sont indispensables à une mode de culture. Autrement dit, la mode de «l’industrie culturelle».
Ils ont cité un exemple, dans l’industrie cinématographique et télévisuelle : les gens viennent en contact avec le même thème, l’intrigue et la structure narrative. De cette façon, l’habitude de penser de l’audience a été fixée. Finalement, les gens sont devenus les “patates” obéissants.
En outre, dans le même temps, l’art se meurt, l’esprit créatif et l’individualité de l’inspiration est disparue. Pas étonnant, Hegel a prédit l’arrivée de l’ère de la fin de l’art.
Je dois dire que la critique de l’école de Francfort est sage et nette. Ils exposent l’essence de l’industrie culturelle, ces théories sont très importants.
Mais je pense que, l’école de Francfort a également ses propres faiblesses. Parce que la trajectoire de leurs théories est unidirectionnelle, leur ligne de mire est aussi unique. Ils n’ont pas remarqué, en tant que consommateurs de la culture populaire, les gens sont à l’initiative. L’école de Francfort est dans la couche d’élite, ils croient que le public ne pense pas. A leurs yeux, ce point de vue est très unilatéral.
En fait, dans le public, il y a une existence d’une “patate”. Mais nous avons besoin de voir l’autre côté de la communauté. Pour les gens, leurs âges, sexes, expériences, éducations sont différents. Ces différences ont donné une force de réaction à l’industrie de culture. Pour cela, l’école de Francfort n’a pas exploré et analysé. Cela reflète leurs limites.
Par conséquent, pour l’école de Francfort, Nous avons besoin d’utiliser et le patrimoine. Mais dans le même temps, nous devrions utiliser un point de vue dialectique. Parce que, dans la société d’aujourd’hui, il y a la culture populaire et la culture d’élite. Lorsque nous utilisons un cadre théorique, on doit être combiné avec la situation spécifique. Dans l’ensemble, la critique unidirectionnel n’est pas souhaitable. La théorie de l’école de Francfort nous a donné beaucoup d’inspiration. Dans la société d’aujourd’hui, en effet, les gens deviennent engourdis. Toutefois, pour les personnes, la capacité d’innovation est très importante. Nous devons être vigilants, sauvons notre nature. Peut-être, maintenant, c’est la société technocratique. le cœur des gens a devenu un espace de plus en plus petit. Mais peut-être que nous pouvons apprendre, comme l’école de Francfort, de conserver l’esprit critique.
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